1) Rendre accessible à tous les rives du fleuve

L’accessibilité du point de vue moteur se traduit dans l’installation d’ascenseurs ponctuellement le long de la balade. Ainsi, la promenade dite « basse » est accessible à tous. Abordons maintenant l’accessibilité du point de vue social. Il est donc vrai que les rives sont accessibles à tous par la balade dite haute qui correspond à un niveau unique bétonné soutenu par un mur de huit mètres de haut, lui aussi en béton. Ce niveau se développe sur plus de onze kilomètres bordés par de larges voiries, où les arbres peinent à se développer, faute, semblerait-il, d’un substrat favorisant leur développement. En revanche, les espaces verts qui ponctuent cette balade, eux, ne sont pas accessibles à tous. En effet, pour profiter de ces espaces, une contribution de 30 roupies est demandée. Ces espaces sont parfaitement entretenus. On y trouve de nombreuses assises ou encore des espaces ombragés qui s’offrent aux usagers à l’instar de la balade haute.